L’affichage en temps réel des transactions, le système de notifications et les fonctions accessibles en ligne pour gérer la sécurité de sa carte MAX offrent de bons moyens au client pour lutter contre la fraude.
Pour autant, je viens de subir une fraude. Certes, à faible impact. Mais celle-ci avait la particularité de concerner une de mes e-cartes. Voici 3 propositions qui m’auraient permis d’agir plus vite sans avoir à contacter le service Clients surchargé de MAX (21h pour obtenir une réponse de MAX, pour ma part).
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Les informations affichées sur la page « mes transactions » sont très succinctes, surtout pour les transactions refusées (la ligne commence par « Refusée » qui occupe près de 50% de l’espace disponible). Un pop-up par transaction affichant les informations suivantes aiderait : le statut (acceptée / refusée), la carte MAX utilisée (la carte physique ou la e-carte), la carte qui a supporté le paiement (le compte MAX ou une des cartes externes rattachées), le libellé en entier du commerçant, la date, l’heure et la localisation de la transaction.
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Indiquer (dans la FAQ par exemple) que le fait de supprimer un e-carte a pour conséquence de rendre impossible toute nouvelle utilisation de cette e-carte, même si celle-ci présente un solde positif et une date d’expiration éloignée. Si seule une e-carte à été compromise, il faut donc avant tout la supprimer. La mise en opposition de la carte MAX physique dans le cas d’une compromission d’une e-carte n’a d’intérêt que si le préjudice subi dépasse le coût du renouvellement de la carte physique (actuellement 10 euros) pour ensuite enclencher le processus d’indemnisation auprès de MAX.
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Disposer d’une fonction de mise en opposition online de la carte MAX physique (et non plus seulement par téléphone ce qui peut être très coûteux lorsque l’on est à l’étranger) comme c’est le cas chez FORTUNEO par exemple.